Ce tableau design représente notre existence qui se compose d’une multitudes d’événements symbolisés par les engrenages. Les vies s’imbriquent et se superposent. Ce mouvement perpétuel est donné ici par des pignons et des engrenages en fer.
Ce mélange de subtils pliages de livres et de fer symbolisent la légèreté et le massif, le yin et le yang, alors que ces rouages qui s’opposent, convergent dans la même direction.
La naissance du tableau ”Les engrenages”
Le choix des engrenages ou roues crantées en métal pour réaliser ce tableau vient de l’enfance de l’artiste qui a toujours été fascinée par les horloges de la maison familiale.
Souvenirs d’enfance
La fascination enfantine, pour les horloges et les mécanismes en fer, est ancrée dans nos mémoires comme le symbole du temps qui passe.
Les horloges
L’horloge familiale avec ses rouages apparents laissait entrevoir les méandres du mécanisme qui suscitait le plaisir enfantin de comprendre son fonctionnement.
Les engrenages revisités avec des matériaux recyclés
La roue crantée
La roue crantée en fer représente l’engrenage de la vie comme dans une horloge c’est le temps qui passe.Le pignon de vélo est un bel objet qui sorti de son contexte habituel est très esthétique sur un mur blanc.IL est cranté pour accrocher quelque chose des chaînes ou d’autres engrenages. Ces engrenages de fer sont disparates et viennent de différents endroit certains engrenages sont de vélo d’autres de machines outils.
La pédale
La pédale, est là pour assembler les roues et les mécanismes entre eux. Elle sert à donner le côté articulé à l’ensemble du tableau qui est accentué par le fait que les engrenages sortent du tableau et que l’on retrouve des mécanismes sur les murs cela donne le côté mouvement à à cette structure design.
Les livres pliés
Le livre plié et coupé, symbole de la roue crantée est lui aussi très esthétique pour représenter le mécanisme et les rouages de l’horloge et surtout il s’oppose au côté massif des engrenages.
SUBTIL PLIAGES DE LIVRES ET DE FER : ENGRENAGE
Ce tableau design et contemporain représente notre existence qui se compose d’une multitudes d’événements symbolisés par les engrenages
Les vies s’imbriquent et se superposent. Ce mouvement perpétuel est donné ici par des pignons et des engrenages en fer.
Ce mélange de subtils pliages de livres et de fer symbolise la légèreté et le massif, le yin et le yang, alors que ces rouages qui s’opposent, convergent ici dans la même direction.
La naissance du tableau ”Les engrenages”
Le choix des engrenages ou roues crantées en métal pour réaliser ce tableau vient de l’enfance de l’artiste qui a toujours été fascinée par les horloges de la maison familiale.
souvenirs d’enfance
La fascination enfantine, pour les horloges et les mécanismes en fer, est ancrée dans nos mémoires comme le symbole du temps qui passe.
“les horloges”
L’horloge familiale avec ses rouages apparents laissait entrevoir les méandres du mécanisme qui suscitait le plaisir enfantin de comprendre son fonctionnement.
les engrenages revisité avec des matériaux recyclés (recupart)
« La roue crantée »
La roue crantée en fer représente l’engrenage de la vie comme dans une horloge c’est le temps qui passe. Le pignon de vélo est un bel objet qui sorti de son contexte habituel est très esthétique sur un mur blanc. Il est cranté pour accrocher quelque chose, des chaînes ou d’autres engrenages. Ces engrenages de fer sont disparates et viennent de différents endroits, certains engrenages sont de vélo d’autres de machines outils.
la pédale
La pédale, est là pour assembler les roues et les mécanismes entre eux.
Elle sert à donner le côté articulé à l’ensemble du tableau moderne qui est accentué par le fait que les engrenages sortent du tableau comme un tabeau trompe l’oeil et que l’on retrouve des mécanismes sur les murs, cela donne le côté mouvement à cette structure design.
« les livres pliés »
Le livre plié et coupé, symbole de la roue crantée est lui aussi très esthétique pour représenter le mécanisme et les rouages de l’horloge et surtout il s’oppose au côté massif des engrenages.
