Ce capteur de rêves originellement réalisé avec du jonc et des plumes par les Amérindiens afin d’éloigner les mauvaises ondes, pensées, et rêves de leurs maisons, est ici repensé et réalisé avec des matériaux recyclés dont une jante de vélo, de la dentelle ancienne, du jean , du carton et des livres pliés.
L’attrape-rêves et ses origines
Chez les Sioux par exemple, fabriquer un attrape rêves, est une tradition qui perdure encore de nos jours. Les femmes comme les hommes travaillent à la création de ces objets d’art culturels qui sont nécessaires à leurs croyances.
L’attrape rêves revisité en matériaux recyclés
Le jonc devient la jante, le tissage central devient dentelle ancienne et les plumes, si symboliques des tribus Amérindiennes, deviennent des livres pliés entre les mains de l’artiste qui voit comment revisiter cet objet d’art avec des matériaux anciens inusités et obsolètes.
Jante de vélo
La jante de vélo en fer se prête particulièrement bien pour représenter le jonc, le cercle bien rond est respecté.
Dentelle ancienne
Le tissage, propre aux tribus Amérindiennes, retransmettent leurs couleurs, leurs objets usuels et leur coutumes, est remplacé par la dentelle qui retransmet notre culture et notre histoire.
Livre plié
Le livre plié pour remplacer les plumes est encore là un symbole de notre monde et des objets usuels de notre entourage.
le jean
Afin de mettre un peu de couleur dans cette oeuvre d’art, le jean a été utilisé pour former des petits coeurs ainsi que des pompons.
Le bois flotté
Le bois flotté apporte une petite touche naturelle et originale à l’ensemble de la réalisation de l’attrape rêves.
le carton
Comme pour la création d’un collier avec des perles les bois flotté, la graine de palmier africaine et le jean ont été utilisé ainsi que des lettres en carton pour créer le mot “love” afin de donner plus de poids au côté spirituel de l’oeuvre et accentuer le côté vintage.